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En route pour Radio Libertaire

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Bonjour à tous !

Le mois d’Avril aura été riche d’une bonne surprise, La diffusion d’une émission de Radio où j’étais invité pour parler de … Léo Ferré ! Les musiques et chansons de Léo Ferré sont une de mes passions. J’en ai parlé plusieurs fois dans certaines des aventures de Zéda en BD ou en vidéo.

Ca n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, puisque Davou, le présentateur du Ferré Club, m’a proposé de venir évoquer avec lui sur les ondes tout ce que j’aimais – ou que je n’aimais pas – chez Léo Ferré. Après montage, cela a donné une émission d’environ une heure et demie diffusée le mercredi 6 avril à 16h sur Radio Libertaire, 98.4FM. Vous l’avez raté ? Aucun souci, Vous pouvez l’écouter en replay sur le site du Ferré Club ! Et pour l’occasion et illustrer ce site, j’ai proposé un dessin de Zéda, marchant avec Léo sur le boulevard Sébastopol nommé « Not’Sébasto ».

Léo et Zéda arpentant les rues de Paris

Cette émission restera un très beau souvenir pour moi, marqué par une rencontre vraiment passionnante avec Davou, le présentateur de l’émission. J’ai retrouvé la motivation pour finir un court-métrage d’animation qui traînait dans les tiroirs depuis quelques années déjà. Et j’espère bien vous en faire profiter bientôt.

Et si vous aimez Léo Ferré, alors sachez que tous les mercredis à 16h, Davou tient, contre vents et marées, une émission sur ce grand artiste, en diffusant ses chansons, en parlant de son actualité. Oui, Léo Ferré n’est peut-être plus parmi nous, mais des tas d’artistes le font vivre, peintres, comédiens, chanteurs… et il y a donc toujours une actualité Léo Ferré. D’ailleurs, une fois par mois, Le Ferré Club propose une émission spéciale avec un entretien pour qu’un invité, célèbre ou anonyme, peu importe, vienne parler de son Léo. Alors venez découvrir cette émission. Vous pouvez rester informé sur Twitter en vous abonnant à @NuitNoireRL !

A bientôt…

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Angoulême en retard

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Bonjour à tous,

Cette année, comme vous le savez peut-être déjà, Le festival d’Angoulême a été décalé au mois de mars. Je suis allé faire un tour sur place pour deux raisons. Tout d’abord, comme chaque année, pour couvrir le festival, et puis ensuite, pour défendre les couleurs de l’atelier 54, car nous avions un stand sur place. En effet, notre Fanzine n°9, sur les pêchés capitaux, était à nouveau en compétition pour le prix de la BD Alternative.

Et hop, tout en haut à gauche, notre fanzine !

On était très heureux, avec tous les membres de l’atelier, de faire partie de cette sélection. Et on s’est un peu relayé sur le stand pour échanger avec les festivaliers et tenter de vendre nos fanzines. Alors, nous n’avons pas gagné cette année, certes, mais on a vécu des super journées. Même si le fait que le festival ait lieu plus tard que prévu en a empêché beaucoup de s’organiser à la dernière minute pour venir. En tout cas, on était sur place, on était en votre compagnie, et on était content !

A bientôt pour d’autres nouvelles…

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Zéda invité sur une fresque !

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Bonjour,

Hé oui, une très bonne nouvelle. Un petit événement qui s’est passé dans le douzième arrondissement de Paris, au centre d’animation de quartier Musidora, près du cour Saint-Emilion.

Miguel Donguy, peintre, artiste graphique polytalent a créé pour le centre d’animation Musidora une grande fresque sur vitrine ouverte à tous. Lorsque je suis passé le voir – Miguel et moi nous connaissons depuis quelques années maintenant – il m’a proposé de participer. après un temps d’hésitation, je me suis lancé et bien sûr, c’est Zéda qui est allé rejoindre les autres personnages de la fresque dessiné par tout un tas de personnes différentes.

La fresque avant l’apparition de Zéda, un magnifique travail collectif

C’était la première fois que je peignais sur une surface verticale, à grande échelle (comparée à mes feuilles A4, voire A5 habituelles). Du coup, je n’étais pas super à l’aise. Heureusement, les conseils attentionnés de Miguel m’ont aidé à passer le cap. Et voilà le résultat !

La partie gauche de la fresque vu de l’intérieur du centre

Zéda volant sur des feuilles de l’arbre de la connaissance, entouré d’une danseuse et d’autres personnages festifs.

Cette fresque était l’événement qui marquait la nouvelle exposition de Miguel qui avait lieu dans le centre. Ses peintures colorées et vivantes valent le détour, et plus encore pour l’échange avec l’auteur. Miguel, présent, prend le temps de faire un tour avec vous, de répondre à vos questions, d’expliquer son travail. Artiste à cœur ouvert, toujours en quête d’inspiration, il continue son chemin de pèlerin, nous entraînant à sa suite pour le plus grand plaisir de nos yeux et de nos cœurs.

A bientôt…

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SoBD 2021, retrouvaille avec le public

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Bonjour,

Début décembre, et même le premier week-end de décembre si vous me permettez la petite précision, se tenait le SoBD. Bon, comme tous le sans, me dire-vous. Enfin presque, car pour moi, c’était la première fois que je remettais les pieds dans un salon depuis le début du COVID. Et en plus, dans celui-ci, avec l’Atelier 54, on tenait un stand pour présenter nos nouveaux fanzines.

Oui, nouveau avec un X car il y en avait deux. L’Après, qu’on avait pas pu présenter quelque part car il est sorti pendant le confinement. Et les pêchers capitaux, qui a été prêt de justesse pour le salon. Du coup, ce premier week-end a permis de faire quelques ventes, de dédicacer un peu, et surtout d’échanger avec mes collègues de l’asso et avec le public.

Juste pour ça, je ne dirais jamais assez combien c’est un bonheur de pouvoir retourner dans un salon. Alors oui, c’est beaucoup d’énergie, et heureusement qu’on était plusieurs car sinon, seul, j’aurais bien été incapable de faire cela. Mais c’est aussi beaucoup de bonheur. Comme en plus, on a réussi à tourner sur le stand, j’ai pu faire le tour des expos du SoBD, et de quelques conférences.

Espérons qu’il y aura d’autres occasions de rencontrer les gens IRL ! En attendant, il va falloir que je retourne dessiner pour pouvoir participer au prochain fanzine.

A bientôt…

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Voilà l’été !

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L’été arrive, et va claquer a bannière bien haut au-dessus de nos têtes.

Pour moi, c’est un été un peu particulier, car j’arrive à la fin de ma première année d’intervention à l’ICAN. Et une des promos d’étudiants avec qui j’ai eu la chance d’avoir cours arrive en fin de parcours. Ces vaillants étudiants vont boucler leur trois années de parcours scolaires et voguer vers leur stage de fin d’étude avant de se confronter à la vie active. Que vont-ils devenir ? Quel chemin, voire quels chemins vont-ils choisir ? Vers où vont-ils naviguer, la BD, l’illustration, le numérique, le design… Les voies sont nombreuses et malheureusement truffées d’embûches. J’espère, avec mes collègues, avoir pu leur donner quelques armes qui vont leur permettre d’avancer et de tailler leur route dans la jungle professionnelle où l’artiste avance entre vermines et prédateurs.

Bonne route à vous dix, je vous souhaite d’aller bien plus loin que moi et d’explorer les pistes de la création artistique que nous n’avons pas encore découvertes.

A bientôt…

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BONNE ANNÉE, BONNE NOUVELLE

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Bonjour à tous,

Pour commencer, malgré les vagues de confinement et de virus, je vous souhaite une très bonne année. Espérons le meilleur et anticipons le pire, comme disait ce – sans doute – grand philosophe dont j’ai oublié le nom !

Et l’année démarre pour moi avec une bonne nouvelle et une belle surprise. Comme vous le savez déjà – ou pas – je fais partie de l’Atelier 54, collectif de dessinateurs de BD qui proposons expositions, fanzines et autres activités autour de la BD.

Et bien cette année, on a eu l’immense honneur de faire partie de la sélection officielle pour le prix de la BD alternative du FIBD d’Angoulême, le célèbre festival de BD qu’on ne présente -presque – plus. Et cela grâce à l’un de nos fanzines de 2020, le numéro 7 sur le thème de la Lune. Je vous en parlais dans un article précédent.

Bon, la concurrence était rude car de très bons fanzines Français nous faisaient face, comme RITA ou LES RUES DE LYON, mais au niveau international, il y avait également du beau monde : Les Taïwanais de ZIGMA, les Brésiliens de CAFE ESPECIAL ou encore les Finlandais de KUTIKUTI entre autres. Et ce sont justement eux qui ont remporté le prix cette année. Oui, les annonces sont tombées fin janvier alors que le festival va être décalé au mois de Juin. Les mystères de l’organisation…

En tout cas, bravo à nos confrères Finlandais pour leur victoire et leur travail. Espérons qu’on aura la chance de croiser quelques uns des participants à Angoulême au mois de Juin, de feuilleter leur fanzines et de pouvoir échanger avec eux. C’était une très belle manière de démarrer l’année. Ça nous a redonné du cœur à l’ouvrage pour avancer sur nos productions !

En attendant d’autres bonnes nouvelles, portez-vous bien !

A bientôt…

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YES, ICAN

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Et non, il ne s’agit pas d’un article politique mais d’une bonne nouvelle que je voulais partager avec vous en cette fin d’année. En effet, j’ai démarré mon premier poste d’enseignant !

J’interviens à l’ICAN (le titre de cet article s’éclaire enfin), l’Institut de Création et d’Animation Numériques, dans le cadre de la formation Bachelor BD numérique qui s’étend sur trois ans. J’ai démarré le premier semestre avec les étudiants de deuxième année pour un module d’analyse de BD numériques et je vais avoir pour le second semestre les étudiants de troisième année.

Le début d’année m’a permis de rencontrer l’équipe pédagogique et les autres professeurs. C’était aussi un moment dont il fallait profiter vu la sauce à laquelle la crise sanitaire allait nous manger. En tout cas, j’ai été bien accueilli et les échanges ont été vraiment intéressants. J’avoue avoir presque eu envie de me métamorphoser en petite souris pour aller suivre les cours de certains de mes collègues. Mais mes dons de polymorphisme étant ce qu’ils sont, j’ai vite abandonné cette idée.

C’était vraiment intéressant de partager et d’échanger avec les élèves. Bien que l’on ait du se confronter à la crise sanitaire et que dès mon deuxième cours, tout se soit passé en distanciel. Ce qui m’a également permis de tâter (virtuellement) de ce fameux Discord dont on me rebattait les oreilles depuis si longtemps. Et bien finalement, quand on s’y met, ça se passe très bien et je dois admettre au final que je trouve cette plate-forme très pratique, voire même très sympathique.

Mais revenons au distanciel, ce n’était pas du tout évident de travailler avec des élèves dont j’entendais peu la voix et surtout dont je ne voyais pas le visage. C’était difficile de savoir si j’allais trop vite, ou pas assez vite, si je les perdais ou si ils avaient trop de temps et s’ennuyaient. Créer l’échange n’est pas évident. Sur Discord, pour éviter les parasites, les auditeurs coupent le micro. Et comme les webcams vous offrent de beaux avatars, tout d’un coup, vous vous retrouvez un petit peu seul. Heureusement, quand je les appelais pour avoir la réponse à une question, même s’il fallait compter le temps de réactiver le micro, ils intervenaient.

Et puis à côté de cela, je découvre la joie de la préparation des cours et des corrections des devoirs. C’est à ce moment qu’on sait qu’on a réellement mis le pied dans le corps enseignant, si je puis me permettre cette double expression.

J’espère en tout cas avoir su transmettre à mes étudiants certes des éléments pour analyser des BD, mais aussi la passion que j’ai pour le neuvième art, qu’il soit papier ou numérique et ce malgré le distanciel.

Et j’espère parvenir à partager cette passion avec les troisièmes années au second semestre.

A bientôt…

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SoBDécalé…

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Hé oui, Avec l’atelier 54, nous devions participer à l’édition du festival SoBD au premier Week-end de décembre, mais l’événement n’aura pas lieu pour raison de vous savez quoi…

Mais la bonne nouvelle est tombée, le SoBD, salon de la BD parisien n’est pas annulé, il est reporté au mois de février. Donc, le 5 et 6 février 2021, on sera présent – si tout va bien – pour vous accueillir et vous dédicacer nos nouveaux fanzines que vous n’aurez pas eu l’occasion de découvrir à la halle des blancs-manteaux en décembre.

Nous avions déjà bien conscience de ne pas maîtriser nos vies, mais nous sommes nombreux, en ces temps troubles, à ne pas avoir de vue sur l’avenir. Que pourra-t-on faire demain ? Et après-demain ? quels projets penser pour l’avenir ? finalement, nous réalisons peut-être juste ce qu’est vraiment la vie… En effet, n’est-pas étrange de se projeter sans se poser de questions dans un an, dans deux ans, voire dans dix ans ? Qui sait ce qui se passera demain ? ou dans une heure ? Qui sait ce qui se décide à haut niveau en ce moment même dans ce monde ? La vie reprend sa valeur inconnue. Enfin, l’avenir plus que la vie. Demain est mystérieux, source de surprises et d’étonnement. Oui, a priori, le soleil se lèvera et le monde tournera à peu près comme aujourd’hui. Mais cela n’a rien d’une certitude et c’est une chose que cette crise sanitaire tend à nous rappeler.

Finalement, au cinéma ou dans un livre, quand nous suivons un personnage et qu’inconsciemment nous anticipons ce qui va se passer, nous sommes surpris mais pas tant que ça par les événements. A quand remonte la dernière œuvre que vous ayez lue ou vue où vous vous demandiez tout le temps ce qui allait se passer pour le personnage dans une heure, demain ou après-demain. Cette œuvre que vous avez lue en vous disant que rien n’est jamais acquis et que l’avenir reste une nébuleuse floue où tout peut arriver… et tout arrive, ou presque, au protagoniste !

Moi-même, j’ai du mal à m’en souvenir. Peut-être Mulholland Drive, la première fois où je l’ai vue, et où je me demandais mais qu’est-ce qu’il va se passer maintenant ? Mais pourquoi il lui dit cela ? Mais qu’est-ce que ça veut dire ? Sensation perdue après la première vision puisque connaissant l’histoire, quand je l’ai revue, les surprises étaient moins fortes. Une sensation donc dure à trouver et surtout à retrouver.

Et vous, avez-vous retrouvé quelle film,livre, spectacle, chanson, peinture ou autre œuvre vous a laissé cette sensation d’inconnu, d’inattendu, ce sentiment que l’on ne parvient pas à comprendre comment l’histoire va évoluer, que tout déjoue vos plans ?

A bientôt (j’espère)…

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Dédicaces au Festival BD6né

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Bonjour à tous,

Grande nouvelle puisque J’étais présent au festival BD6né pour deux raisons. La première, couvrir le festival pour 7BD, et la seconde, participer au stand de l’atelier 54 pour dédicacer notre nouveau fanzine Lune.

Hé oui, le nouveau fanzine de notre collectif est sorti. A l’intérieur, vous pouvez retrouver une aventure de Zéda le Maltais en 6 pages mais aussi plusieurs illustrations pleine page liée à la lune. Car le thème de ce septième numéro est… La Lune !

Une des illustrations lunaires réalisées pour le Fanzine Atelier 54 sur la Lune !

Nous avons tenu contre vents et marées, et surtout la bruine, notre stand au Hasard Ludique, métro Porte de Saint-Ouen, sur la voie ferrée désaffectée de la petite ceinture. Une expérience fort sympathique et l’occasion aussi de discuter avec les collègues des autres stands.

Cela nous a permis aussi de découvrir une superbe nouvelle édition du festival BD6né qui, pour la première fois, prenait place au Hasard Ludique le dimanche 27 septembre, après avoir démarré comme d’habitude à la médiathèque Marguerite Duras les vendredi 25 et samedi 26 septembre.

Mais pas le temps de chômer, car nous avons vendu et dédicacé plusieurs fanzines. Une après-midi géniale en compagnie de quelques autres « Bédeux » de l’atelier 54, tout aussi enjoués que moi.

Une fois ce festival terminé, on n’avait plus qu’à se lancer dans la préparation de notre prochain stand et expo au salon SoBD 2020, enfin, si le COVID le permet.

A bientôt…

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INKTOBER is BACK

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Chaque année, le défi Inktober est lancé pour le mois d’octobre. Chaque jour du mois, il s’agit de publier sur les réseaux sociaux un dessin illustrant un mot différent chaque jour.

La liste des 31 mots est disponible en avance et permet de se préparer au choc. Au début, les dessins devaient se faire à l’encre. Mais avec le temps, les règle se sont assouplies et grosso modo, tout est autorisé. Ne jamais oublier, par contre, de mettre les Hashtags #INKTOBER et #INKTOBER2020 en commentaire de votre dessin une fois publié pour qu’il soit repéré par les fans et les autres dessinateurs.

Je n’avais pas pu relever le challenge l’année dernière et je l’avais regretté. Cette année, j’ai retroussé mes manches pour me préparer. J’ai vu la liste des 31 mots et me suis demandé ce que j’allais faire de spécial. Quand soudain, j’ai repensé au haïku, ce court poème japonais de trois vers (mais pourquoi donc ? Je l’ignore).

Du coup, j’ai décidé de mettre en scène Zéda, mon héros de pixel et de papier, dans des dessins à multiples lectures. Comme le haïku joue sur les double, triple sens, les homophonies, les allusions, les symboles, les références littéraires, historiques, je suis parti dans la même direction. Des dessins à tiroir dont certains sens apparaîtront à certaines personnes tandis que d’autres comprendront un des autres sens. En ayant un dessin de base représentant quelque chose de figuratif quand même pour ceux qui voudraient juste profiter d’une illustration !

J’avais trouvé ma clé créative, et pour le graphisme, j’ai décidé de retourner aux sources et de n’utiliser que de l’encre. Encre noire et encre de couleur, pure ou diluée à l’eau, selon les effets recherchés.

Mon premier dessin #Inktober 2020, pour le mot FISH

Et voilà donc FISH, le premier dessin préparé pour cet Inktober 2020. Pour vous expliquer les sens cachés plus en détail, on voit sur ce dessin une lune (poisson-lune), un poisson volant, une tête de clown sur la plage (poisson-clown), une esquisse de tête de chat (poisson-chat), une scie (poisson-scie), et un crâne avec une fiole de poison. Poison se prononçant presque comme poisson. De l’eau, élément naturel du poisson, une nageoire de requin, nageoire donc poisson, une feuille volante, une fiche, qui résonne comme fish, poisson en anglais, et Zéda qui marche sur l’eau avec une auréole comme Jésus, car le poisson était aussi le symbole des premiers chrétiens. D’où les trois croix sur la colline au fond, représentant les trois croix du Golgotha. Et notre héros tient un poisson rouge dans une main et une chips dans l’autre, permettant d’évoquer le Fish & chips ! et pour finir, la calligraphie Japonaise sur le côté est le mot poisson écrit phonétiquement en Japonais (PO-A-SO-N).

Voilà, alors si vous avez envie de cogiter sur les prochains dessins de Zéda tout le long du mois d’octobre 2020, rendez-vous dans la rurique Inktober du Site de Zéda !

Et n’oubliez pas de partager vos dessins si vous participez !

A bientôt…

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